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La Fédération algérienne des sports mécaniques veut absolument récupérer son label, en organisant la première édition du Challenge Sahari International du 1er au 9 novembre prochain.

Article PUBLIE LE : 26-10-2015, sur le Quotidien El-Moudjahid

La Fédération algérienne des sports mécaniques veut absolument récupérer son label, en organisant la première édition du Challenge Sahari International du 1er au 9 novembre prochain. «Le Rallye mécanique est une spécialité qui a vu le jour en Algérie dans les années 1970. Elle s’est développée par la suite avec l’organisation de plusieurs compétitions à travers le monde, dont le Paris-Dakar qui traversait notre pays de 1981 à 1987. La FASM, à travers l’organisation du Challenge Sahari International, veut récupérer son Label. Cette première édition est une épreuve test, qui nous permettra de nous former et de progresser dans tous les aspects relatifs à l’organisation, avant de l’inscrire dans le calendrier des compétitions internationales de la FIM et de la FIA», a déclaré le président de la FASM.

 

M. Chihab Balouli, lors d’une conférence de presse tenue à l’hôtel El-Djazaïr, hier, avant de faires part des autres objectifs recherchés à travers l’organisation de manifestation sportives de grande envergure, ajoute : «Cet événement, qui bénéficie du haut patronage de Son Excellence le Président de la République, dépasse le simple cadre sportif. Il s’inscrit dans une politique visant à rehausser l’image de l’Algérie à l’échelle internationale. À travers ce Rallye, qui constitue un véritable circuit touristique, nous voulons faire découvrir notre grands pays et ses paysages uniques, ainsi que sa riche culture. Nous allons aussi prouver au monde que notre pays jouit d’une sécurité totale et qu’il dispose des moyens nécessaires pour assurer l’organisation et le bon déroulement de grands événements d’envergure internationale. Ce Challenge, qui constitue en lui-même un grand défi pour la FASM, donnera un nouveau souffle à notre discipline. D’ailleurs, d’autres compétitions sont inscrites dans le programme 2016 de la fédération pour relancer les sports mécaniques. Aussi, nous restons ouverts aux éventuelles sollicitations des organisateurs, privés, notamment, de ce genre d’événements. Il faut aussi savoir que les courses organisées par nos soins entrent dans le cadre de la prévention et de la sécurité routières», a poursuivi le premier responsable de la FASM, en déplorant toutefois l’absence d’un circuit mécanique en Algérie. Ainsi, cette première édition se déroulera sur une distance totale de 1.770 km. Une importante partie se déroulera sur piste et dunes de sable (1.210 km), alors que la seconde aura lieu sur route bitumée (560 km). Trois formules de compétition ont été, par ailleurs, retenues pour cette grande course, à savoir le Rallye Raid, le Chrono et la régularité. 65 motos, 37 autos (avec pilotes et copilotes, 2 camions, 3 Buggy et 5 Quads, représentants Sept pays (Algérie, Hollande, France, Italie, Roumanie, Libye et USA), participeront à ce 1er Challenge Sahari International. Par ailleurs, les organisateurs ont prévu une parade de la caravane dans les rues de la capitale, le 1er Novembre, journée réservée aux contrôles techniques. Le 8 novembre, jour de la dernière étape avec l’arrivée aux abords du stade du 5-Juillet, une attention particulière sera accordée afin de marquer la première année de la sortie du premier véhicule des usines Renault Algérie (Symbol). Pour rappel, Renault est le seul concessionnaire auto implanté en Algérie à montrer un intérêt pour ce Challenge Sahari International, en sponsorisant l’événement et en participant avec deux véhicules au Rallye. À noter enfin que cette première édition coûtera 140 millions de dinars.

La FASM a consacré un montant de trois million de dinars et des trophées pour récompenser les lauréats. «Rien n’est assez cher pour l’image de l’Algérie», a tenu à souligner M. Chihab Baloul.   
 de Rédha Maouche